Votre commune

Présentation de la Commune

Blottie au creux de collines verdoyantes, au bord d’une rivière majestueuse, Beaulieu-sur-Dordogne est une ville pleine de charme. Située dans le bassin de la Dordogne inscrit par l’Unesco au réseau mondial des Réserves de biosphères (sites d’exception qui concilient conservation de la biodiversité, valorisation culturelle et développement économique et social), la cité dresse fièrement la tour de son abbatiale, monument emblématique de ce site clunisien. Un patrimoine architectural très riche : chapelle des Pénitents, maison de la Renaissance, abbatiale Saint-Pierre avec notamment son portail roman et le trésor exposé dans son transept, la cité médiévale …

Située dans la partie la plus au sud de la Corrèze, Beaulieu-sur-Dordogne profite d’un climat doux. Ainsi, c’est une ville fleurie (une fleur), la ville de la fraise (fête de la fraise) et du vin paillé où les produits du terroir sont privilégiés, où les palmiers apportent une note « méditerranéenne ». Ville pleine de vie et de contrastes, elle accueille de nombreux touristes. Les animations portées par les associations très actives et des bénévoles toujours mobilisés, créent ambiance chaleureuse et gaieté : marchés festifs, fête des Corps saints, fête médiévale, fête Marbot, en sont des exemples.

 

C’est aussi une ville active où les commerces sont présents et où le sport est à l’honneur. Le rubgy dont il faut saluer les résultats, plusieurs fois champions du Limousin, mais aussi le basket, le canoë-kayak et la pêche proximité de rivière oblige. Qui dit Dordogne, dit gabare, bateau utilisé pour le transport du bois autrefois. Les balades contées sur la gabare « Adèle et Clarisse » sont l’occasion pour les visiteurs de remonter le temps.

Bellocoises et bellocois vous raconteraient l’histoire si riche de leur cité, des vicomtes de Turenne au général Marbot ; ils vous parleraient d’André Malraux ou Francis Poulenc amoureux de leur ville … Mais chut ! profitez de la douceur de vivre à Beaulieu-sur-Dordogne. Vous êtes sur la « riviera limousine ».

 

Beaulieu site Clunisien 

La Fédération Européenne des sites clunisiens a pour objectif de rassembler les lieux qui, en Europe, ont contribué à l’extraordinaire rayonnement de l’abbaye de Cluny (Bourgogne du sud), du Xe au XVIIIe siècle! : rayonnement spirituel, artistique, économique, politique et social. Les moines de Cluny furent à l’origine de l’émergence de centaines de bourgs et de villes. Chacun d’entre eux est détenteur d’une parcelle de cet héritage culturel européen unique.

Le réseau des sites clunisiens est un grand itinéraire culturel du Conseil de l’Europe, dont fait partie Beaulieu sur Dordogne.

www.sitesclunisiens.org

Donation Paule Marie (1900 - 1996) artiste bellocoise de coeur
« Dès que je sus tenir un crayon, et cela vers les quatre ans, j’ai affirmé que je serai peintre, et précisé, portraitiste… » (Mémoire de Paule Marie)
Paule Marie a légué à la commune de Beaulieu-Sur-Dordogne ses œuvres ainsi que des œuvres de son père, Paul Marie. Les tableaux « la fessée » et « la petite ménagère » qui se trouvent exposés en permanence à la Chapelle des Pénitents font partie de cette donation.
La collection communale « Paule Marie » a été enrichie par une nouvelle donation de Monsieur Didier MANUEL amateur des portraits réalisés par cette artiste.
 
Issue d’une famille de cartonniers attachés à la Manufacture des Gobelins, Paule Marie apprend le dessin auprès du peintre animalier Gustave Surand, ami de son père Paul, lui-même artiste.
Elle travaille dans la mode (Lanvin, brodeur Chaillet) à Paris.
Après avoir découvert Beaulieu, où elle s’installe dans les années 1980, elle y peint des natures mortes et des portraits de Corréziens.
(Frédéric LE HECH, Histoire de BEAULIEU-SUR-DORDOGNE ET DE SON PAYS)
 
Insolite

Parvis de l'Abbatiale - Mercredi 15 juin 2016 Essaimage d'abeilles

Photo N. Vaïdes

L’essaimage, formation d'un essaim, est un processus bien décrit chez les abeilles. L’essaimage est un mode de multiplication par division naturelle.

La formation d'un essaim se produit généralement avant les miellées ou après. Lorsque la colonie est prise de «la fièvre d'essaimage», le processus se met en route. Les abeilles bâtissent une cellule particulière, plus grosse que les autres et qui a la particularité de pendre, contrairement aux cellules de mâles, d'abeilles ou de miel. Quand la reine consent à déposer un œuf femelle dans cette alvéole, le processus est enclenché. Quinze jours plus tard, une jeune reine naît. La ruche possède alors deux reines : la vieille et la jeune. C'est la vieille reine qui partira, à l'occasion d'un début d'après midi ensoleillée, lorsque la fièvre d'essaimage aura repris tout un groupe d'abeille. Ce dernier se tiendra prêt au départ dans la ruche, mais aussi aux abords, certaines abeilles étant parties en éclaireuses dans le but de trouver un nouveau logis. Lorsque le signal est donné, il se produit un impressionnant ballet d'abeilles au-dessus de la ruche, qui bientôt quittera la ruche. Il ira alors se fixer soit à l'endroit que les éclaireuses auront préalablement trouvé, soit sur un objet quelconque, en attente de bonnes nouvelles des éclaireuses.

 

Entre soleil et brume

 

La Dordogne Samedi 13 février 2016

 

Cygnes dimanche 21 janvier 2016 sur le plan d'eau des Aubarèdes